La Turquie est un pays situé en Eurasie qui combine une culture orientalisée avec des tendances modernes et occidentalisées. Malgré sa proximité géographique et ses liens étroits avec l’Union européenne (UE), elle n’est pas membre de l’UE. Il existe plusieurs raisons pour lesquelles la Turquie ne fait pas partie de l’UE, notamment les questions politiques, économiques et religieuses qui la sous-tendent. Dans cet article, nous examinerons en profondeur ces trois facteurs afin d’examiner leur impact sur la question de savoir pourquoi la Turquie ne fait pas partie de l’Union européenne.
Politique: le principal facteur d’exclusion de la Turquie de l’UE
La politique est sans doute le facteur le plus important qui explique pourquoi la Turquie ne fait pas partie de l’Union européenne. La relation politique entre la Turquie et l’UE a été marquée par des tensions continues depuis que la Turquie a demandé son adhésion à l’UE en 1987. Les relations ont progressivement s’intensifié, car les conflits armés entre la Turquie et certaines régions environnantes, telles que le Kurdistan, n’ont cessé de se manifester. Ces conflits limitent considérablement tout progrès vers une adhésion à l’UE car ils soulignent un obstacle juridique caractéristique du processus d’adhésion. De plus, les efforts diplomatiques relatifs à cette question sont souvent perçus comme inefficaces par les pays membres de l’UE et donc moins susceptibles d’aboutir à une admission complète au sein de l’organisation.
Économie: une barrière à l’entrée pour la Turquie?
L’économie est un autre facteur qui limite les efforts de la Turquie pour s’intégrer à l’Union européenne. En effet, lorsque la Turquie a demandé son adhésion à l’UE en 1987, l’économie turque était considérablement moins développée que celle des pays membres de l’UE, ce qui a conduit à des retards et des inhibitions pour rejoindre le marché unique de l’Union européenne. De plus, certains politiques européens ont entendu des menaces qui expliquent le ralentissement général du processus d’expansion économique en Europe et limitent donc les possibilités pour la Turquie de bénéficier davantage des avantages offerts par le marché unique. Finalement, comme le processus d’adhésion prend du temps et nécessite beaucoup d’efforts financiers et humains, il devient plus difficile pour les pays membres dans le contexte actuel de trouver une place supplémentaire au sein de l’organisation.
En conclusion, bien que les efforts de la Turquie pour s’intégrer à l’Union européenne aient été importants, la politique et l’économie sont deux facteurs majeurs qui limitent son accès à l’organisation. La présence continue des conflits armés entre la Turquie et des régions environnantes est une barrière juridique significative alors que le retard économique ainsi que les menaces internationales compliquent le processus d’adhésion. En outre, le long processus d’intégration à l’UE ainsi que le temps nécessaire pour compléter les procédures encouragent également une large opposition au sein de l’UE.