Pourquoi je n’ai pas mangé mon père est une question qui m’a toujours intrigué. Les raisons peuvent être nombreuses et variées, mais le plus important, c’est que les conséquences de ce choix peuvent être profondes et significatives pour moi et pour ma famille. Certaines personnes pourraient dire que se nourrir d’un être humain est moralement répréhensible et ne devrait pas être considérée, tandis que d’autres soutiendraient qu’il faut peser le bien et le mal avant de prendre une décision. Mais quels sont les arguments de chaque point de vue ?
Les raisons morales
Il est difficile d’ignorer la morale et l’éthique associées à manger un être humain. On pourrait argumenter que l’idée est tellement répréhensible, qu’il nous serait impossible de trouver une justification acceptable. Les principes éthiques sont très profondément ancrés en nous, ce qui explique pourquoi même l’idée de consommer un membre de notre espèce est si répugnante. D’autre part, le fait d’envisager cette possibilité pourrait remettre en cause certaines des valeurs et des croyances sur lesquels reposent nos sociétés et nos cultures.
Les conséquences physiques
Manger un être humain augmenterait très probablement le risque d’ingestion de bactéries et d’agents pathogènes, ce qui pourrait conduire à des effets secondaires nocifs tels que des diarrhées sévères. Autrement dit, cette pratique pourrait entraîner une grave intoxication alimentaire et, par conséquent, provoquer des complications graves, voire mortelles. De plus, il est possible qu’il y ait des allers-retours entre les humains et la consommation de viande d’un être humain peut créer une boucle sans fin de maladies infectieuses.
Il est donc clair que manger un être humain est à la fois moralement et physiquement indésirable, ce qui explique pourquoi cette idée est devenue si impopulaire au fil des années. De nos jours, il reste peu de doutes quant aux dommages que pourraient entraîner cette pratique, en particulier lorsque l’on considère les conséquences potentielles sur la santé publique à long terme.