Adolf Hitler et les Juifs ont entretenu une relation mouvementée tout au long des années 1930. Alors que le parti nazi s’est vu accorder les pouvoirs politiques allemands en 1933, un plan systématique et radical visant à l’extermination de la population juive a été mis en place. Les actions prises par Hitler et le parti nazi contre les Juifs étaient motivées par une haine raciale intolérable et injustifiée.
Les idéologies antisémites d’Hitler
La croyance fondamentale de l’idéologie d’Adolf Hitler était que la race aryenne était supérieure à toutes les autres et qu’elle devait être préservée. Il a également prêché que les Juifs étaient un groupe inférieur qui portait atteinte à la population allemande et devrait donc être exilée ou exterminée. Ainsi, l’antisémitisme était considérablement ancré chez Hitler et le parti nazi, et cette haine raciale était le moteur principal des actions violentes contre le peuple juif.
Les lois et les persécutions nazies contre les Juifs
Les années 1930 ont vu l’instauration de plusieurs lois anti-juives en Allemagne, à l’initiative d’Adolf Hitler et du parti nazi. Ces lois interdisaient aux Juifs d’occuper des postes publics, leur imposaient des restitutions financières et limitaient leurs libertés civiques. Non seulement ces mesures étaient discriminatoires et injustifiées, mais elles ont également ouvert la voie à une persécution violente du peuple juif par les forces armées allemandes.
Les actions de Hitler et des forces nazies contre les Juifs ont non seulement été profondément discriminatoires, mais aussi hautement violentes. Ces événements de l’Histoire sont encore aujourd’hui bien connus et remplis d’enseignements moraux quant au prix à payer pour l’intolérance et la haine raciale.